Auguste Reine des Anges

Auguste Reine des Anges

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Le texte

Auguste Reine des cieux, souveraine Maîtresse des Anges, vous qui, avez reçu de Dieu le pouvoir et la mission d’écraser la tête de Satan, nous vous le demandons humblement, envoyez les légions célestes pour que sous vos ordres et par votre puissance, elles poursuivent les démons, les combattent partout, répriment leur audace et les refoulent dans l’abîme.” Qui ut Deus ? Qui est comme Dieu ?
Ô bonne et tendre Mère, vous serez toujours notre amour et notre Espérance. Ô divine Mère, envoyez les Saints Anges pour me défendre et repousser loin de moi le cruel ennemi.
Saints Anges et Archanges, défendez-nous, gardez-nous. Amen.

Père Louis Cestac

La composition0000240

« Le 13 janvier 1864, le père Louis Cestac (fondateur de la Congrégation des « Servantes de Marie», décédé en 1868), accoutumé aux bontés de la Très Sainte Vierge Marie, fut subitement frappé comme d’un rayon de clarté divine. Il vit des démons répandus sur la terre, y causant des ravages inexprimables. En même temps, il eut une vision de la Très Sainte Vierge Marie. Cette bonne Mère lui dit qu’en effet les démons étaient déchaînés dans le monde, et que l’heure était venue de la prier comme Reine des Anges, et de lui demander d’envoyer les légions saintes pour combattre et terrasser les puissances de l’enfer. »
« Ma Mère, dit le prêtre, vous qui êtes si bonne, ne pourriez-vous pas les envoyer sans qu’on vous le demande ? – Non, répondit la Très Sainte Vierge, la prière est une condition posée par Dieu même, pour l’obtention des grâces – Eh bien ma Mère, reprit le prêtre, voudriez-vous m’enseigner vous-même comment il faut prier ? – Et il reçut de la Très Sainte Vierge Marie la prière intitulée « Auguste Reine des Cieux »

Mon premier devoir, écrit l’abbé Cestac, fut de présenter cette prière à Mgr Lacroix, évêque de Bayonne, qui daigna l’approuver. Ce devoir accompli, j’en fit tirer 500 000 exemplaires, j’eus soin de les envoyer partout. »
« Nous ne devons pas oublier de dire que, lors de la première impression, les presses se brisèrent par deux fois » Imprimatur : Cameraci (Cambrai), die 26 februarii 1912. A. Massart, vic. gén

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