La M.I a imprimé son premier magazine pour les pays germanophones voici un an maintenant. Il a été nommé le “Chevalier de l’Immaculée” à l’exemple du magazine du Père Maximilien Kolbe.
Au début, nous avions quelques inquiétudes concernant le financement et la gestion des travaux que cela nécessiterait. Mais la confiance en la Divine Providence et en l’aide du Père Maximilien a été richement récompensée.
Le magazine est publié trois fois par an et est envoyé personnellement à tous les Chevaliers. À l’heure actuelle, nous comptons près de 600 Chevaliers.
Le magazine est également envoyé à d’autres personnes intéressées ainsi qu’aux prêtres germanophones à l’étranger.
Une autre méthode de distribution consiste à utiliser les librairies des centres de masse de la société dans ces trois pays, où le magazine peut toujours être trouvé.
Grâce à une demande très nombreuse, le tirage a doublé de 1500 à 3000 exemplaires ; il a même fallu réimprimer les deux premiers numéros.
Le financement du magazine est rendu possible uniquement grâce aux dons, et grâce à Dieu ce système a bien fonctionné jusqu’à présent.
Au cours de la première année, l’objectif principal du magazine était Fatima et la préparation du jubilé de 2017 :
- Fatima et l’Apocalypse,
- le Troisième Secret de Fatima, Fatima —
- Lumière dans les ténèbres,
- L’Ange de Fatima nous apprend à prier,
- Premiers samedis de Réparation, etc.
Les newsletters de notre Père Directeur sont publiées parallèlement à ces articles, et il y a toujours de la place pour des nouvelles de la vie de la M.I.
Le but de notre magazine est d’encourager la camaraderie et la spiritualité au sein de la M.I., mais aussi de réveiller et de motiver les “chevaliers endormis” qui autrement ne pensent plus à la M.I.
Aujourd’hui encore, un magazine imprimé a un avantage considérable par rapport aux médias électroniques : l’expérience montre qu’il peut être très difficile de se concentrer lors de la lecture sur un écran d’ordinateur, surtout lorsqu’il s’agit de sujets spirituels. Un magazine imprimé est plus efficace, par rapport aux e-mails qui sont si facilement survolés, oubliés ou ignorés.
Nous continuerons à confier notre petite revue au Père Maximilien Kolbe.
Benjamin Aepli, M.I. Suisse
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